ESSTIC : 886 candidats en lice

Ils rêvent d’étudier le journalisme, la communication des organisations, la publicité, l’information documentaire ou l’édition. 886 candidats frappent aux portes de l’Ecole supérieure des Sciences et Techniques de l’information et de la communication (Esstic) depuis hier. Les épreuves écrites ont démarré dans les amphithéâtres 1001 et 1002 de l’Université de Yaoundé I sur le campus de Ngoa-Ekelle. « Nous n’avons enregistré aucun incident majeur. Seuls les candidats dans des situations pas encore clarifiées sont rassemblés dans la salle des litiges », relève le Pr. François-Marc Modzom, directeur de l’Esstic. Cette salle rassemble les candidats, soit dont les noms apparaissent sur les listes, mais ne disposent d’aucun récépissé, soit l’inverse, soit ceux qui disent avoir déposé des dossiers en région sans qu’ils ne se retrouvent au centre d’examen le jour-J. En attendant d’y voir clair, tous sont invités à passer les épreuves comme les candidats en situation régulière.
Plus de 800 candidats frappent donc aux portes de la prestigieuse école de communication de la sous-région Afrique centrale pour 175 places au total. Les profils de sexe féminin étant les plus nombreux (688) que ceux de sexe masculin (198). De même, le journalisme reste la filière la plus courue avec 303 candidats pour 50 places à pourvoir. Il est suivi de près par la communication des organisations (275) qui offre 35 places et l’information documentaire (149) qui offre 40 places. La publicité (91) et l’édition (68) sont en queue de file avec 25 places disponibles pour chaque filière. « Le conseil de direction nous ayant prescrit de professionnaliser davantage, on s’est dit que l’une des voies de la professionnalisation, c’est la maîtrise des effectifs. Ce n’est pas une option définitive », assure le Pr. Modzom.
De même, il y a...